© Jo

© Jo

Julie

lundi 17 octobre 2022 18:06

Je le savais, mais cette expérience me l’a confirmé, je suis d’une impatience pathologique : une heure, cela m’a semblé TELLEMENT LONG.

Mais c’est bien, ça permet de se rendre compte du travail qu’il reste à accomplir pour parvenir à lâcher prise, à ne faire QUE contempler sans être « polluée » sans cesse par des pensées galopantes.

Alors merci de m’avoir permis cet éclairage.

Et merci les oiseaux pour le spectacle. Lâchez rien, vous avez un bel avenir devant vous.